Quand vous sortez de la salle climatisee de l'aeroport vous commencez a sentir les tropiques, la chaleur et la fraicheur, l'air etourdi. Les taxistes, en disant leur prix, vous proposent de prendre leurs taxis. Vous pouvez commencer a baisser le prix, parce que les taxistes sont les memes partout. Vous pouvez prendre aussi le bus qui va regulierement et coute bon marche. Meme si vous prenez le taxi, cela ne vous coutera pas cher parce que l'aeroport se trouve dans une zone urbaine et les plages ne sont pas loin. Un seul moyen d'aller jusqu'a l'hotel est d'acheter un transfer a Moscou. Notre agence a etabli le prix de 116 ˆ pour deux. Selon les prix a Rio cela suffirait pour faire des cercles d'honneur autour de toute la ville ou pour dejeuner a un bon restaurant. L'agence tourisitique moskovite nous a assure que nous ne reussirons pas a trouver notre hotel sans transfer et qu'ils ne sont pas sur que nous y allions vivants et en pleine sante. En verite, notre hotel etait connu par tout le monde.

Quant au Bresil, on nous a decrit une situation criminelle, des vols, qui vous attendent a chaque pas. Dans un moment nous avons voulu etre voles et apres la revenue en parler a nos amis. Au Bresil nous nous sommes promenes en pleine nuit avec nos cameras et nos appareils de photo, nous sommes alles nous baigner en quittant toutes nos affaires au sable, pas de resultat. Les Bresiliens n'ont pas voulu voler nos affaires, au contraire, ils etaient bienveillants. Il nous fait paraitre que nous connaissons tous ces gens-la depuis l'enfance et ils sont nos amis.

On pourrait ecrire un livre sur les Bresiliens, si m. G.Amadou ne l'aurait pas fait d'avance. C'est une nation remarquable, belle, mais un peu paresseuse. Les gens s'entendent tres bien. On vous indique la route, vous aide a faire une photo ensemble. Au Bresil il y a beaucoup des cybers cafes aussi que les magasins de souvenirs. Quand un de nos guides commencait a parler de la situation criminelle, nous lui avons repondu que nous etions de la Russie, donc, il se taisait...

Maintenant disons quelques mots sur les moeurs. Le Bresil est un pays catholique et les gens n'ont pas l'habitude de se haler a demi nus. En plus, il n'y a pas de WC et de cabines du changement de vetement sur les plages. Les ombrelles et les chaises longues coutent ici pres d'un dollar et le prix d'une couchette comporte 2 ˆ. On peut payer a la fin d'une journee, pas de probleme. Pour acheter un coca ou une biere il vous faut avoir de la monnaie. Elle sera destinee a un vagabond mais pas pour celui qui tend la main mais pour celui qui vous danse le samba. Dans ce cas-la votre main tend dans votre porte-feuille elle-meme parce que vous avez un grand plaisir de sacrifier une petite somme, un ou deux reals environ, pour cet art (1 ˆ=4 reals).

Les hotels a Rio sont situes dans les quartiers differents. Mais une remarque a faire est la suivante: si les fenetres de votre hotel, de votre chamber donnent sur la Copacabane ou Ipaneme, c'est toujours un grand bruit. Pour voir les hotels et apprendre l'information sur les quartiers bresiliens d'affaire, les zones de repos la Copacabane ou Ipaneme, regardez sur la carte. Les cafes qui se trouvent sur les plages sont ouverts tout le temps, donc, vous pouvez y aller et prendre, par exemple, une biere ou un cafe. Le soir il vient le temps de la vente des souvenirs, par exemple, des pantalons blancs ou des maillots de couleur differente. Les prix dans les cafes sont ssez bas. Pour diner dans un restaurant et commander beaucoup de viande, de la salade, de la biere vou avez besoin de dix ˆ. Si vous voulez acheter quelques souvenirs, n'oubliez pas que vous pouvez baisser le prix. Nous vous assurons que vous reussirez a baisser le prix sur 20 ou 30%. Un maillot avec le symbole de Rio coute 2-3 ˆ, des foulards 3-4 ˆ, des hamacs tricots 7-10 ˆ.